Mme Verdet, résidente
« Je suis arrivée au Clos Saint-Joseph après un séjour à l’hôpital. À 85 ans, il fallait trouver une solution. J’ai eu la chance par l’intermédiaire de mes connaissances d’être orientée vers cette résidence. Ce n’est pas évident de quitter sa maison, ses habitudes, mais je me suis adaptée et aujourd’hui je me sens très bien ici.
L’accueil est chaleureux. On sent une vraie attention à chacun. J’ai une jolie chambre. Il y a un patio qui donne sur la verdure, des petites poules y viennent picorer. Je me sens libre dans mon quotidien. La cuisine est faite sur place, par un très bon cuisinier, ce qui est important aussi. Les activités me plaisent beaucoup et j’ai fait des connaissances !
Ce que j’apprécie, c’est qu’on peut donner son avis. On a notre mot à dire en tant que résidents, et cela compte beaucoup. Bien sûr, chacun a ses difficultés, mais l’important est de rester positif, et moi je le suis. C’est la maison que j’ai choisie pour ma fin de vie, et je ne le regrette pas.»
« Je suis arrivée au Clos Saint-Joseph après un séjour à l’hôpital. À 85 ans, il fallait trouver une solution. J’ai eu la chance par l’intermédiaire de mes connaissances d’être orientée vers cette résidence. Ce n’est pas évident de quitter sa maison, ses habitudes, mais je me suis adaptée et aujourd’hui je me sens très bien ici.
L’accueil est chaleureux. On sent une vraie attention à chacun. J’ai une jolie chambre. Il y a un patio qui donne sur la verdure, des petites poules y viennent picorer. Je me sens libre dans mon quotidien. La cuisine est faite sur place, par un très bon cuisinier, ce qui est important aussi. Les activités me plaisent beaucoup et j’ai fait des connaissances !
Ce que j’apprécie, c’est qu’on peut donner son avis. On a notre mot à dire en tant que résidents, et cela compte beaucoup. Bien sûr, chacun a ses difficultés, mais l’important est de rester positif, et moi je le suis. C’est la maison que j’ai choisie pour ma fin de vie, et je ne le regrette pas.»
Mme Guillermin, fille d’une résidente
« Ma maman est arrivée au Clos Saint-Joseph en décembre 2023. Cela reste pour moi une date importante, car son admission a marqué le début d’une nouvelle étape, à la fois pour elle et pour nous. Après un grave problème de santé, il a fallu envisager une solution adaptée, et c’est ici que nous avons trouvé la sécurité et l’accompagnement dont elle avait besoin.
Depuis, maman revit. Avant, elle était seule dans son appartement et voyait très peu de monde. Ici, elle a retrouvé un lien social, elle participe aux animations, elle a noué des amitiés. L’animatrice est formidable : elle propose des activités le matin et l’après-midi, et cela contribue au maintien d’une bonne santé physique et mentale des résidents. Cela nous a convaincu, avec quelques autres familles, de proposer aussi des animations, en relais, quand elle est en congés. C’est bon de s’investir.
Ce qui m’a frappé dans cet établissement, c’est la profonde humanité avec laquelle nous sommes accueillis. La directrice, les soignants, les personnels d’entretien sont véritablement à l’écoute et ont toujours un sourire, un mot gentil. La résidence est lumineuse, bien entretenue, ouverte sur la nature, et cela compte beaucoup aussi. C’est un lieu où il fait bon vivre, et je mesure chaque jour la chance que ma maman ait pu y trouver sa place. Aujourd’hui, je peux dire qu’elle y est épanouie et que nous, sa famille, sommes pleinement rassurés de la savoir ici. »
« Ma maman est arrivée au Clos Saint-Joseph en décembre 2023. Cela reste pour moi une date importante, car son admission a marqué le début d’une nouvelle étape, à la fois pour elle et pour nous. Après un grave problème de santé, il a fallu envisager une solution adaptée, et c’est ici que nous avons trouvé la sécurité et l’accompagnement dont elle avait besoin.
Depuis, maman revit. Avant, elle était seule dans son appartement et voyait très peu de monde. Ici, elle a retrouvé un lien social, elle participe aux animations, elle a noué des amitiés. L’animatrice est formidable : elle propose des activités le matin et l’après-midi, et cela contribue au maintien d’une bonne santé physique et mentale des résidents. Cela nous a convaincu, avec quelques autres familles, de proposer aussi des animations, en relais, quand elle est en congés. C’est bon de s’investir.
Ce qui m’a frappé dans cet établissement, c’est la profonde humanité avec laquelle nous sommes accueillis. La directrice, les soignants, les personnels d’entretien sont véritablement à l’écoute et ont toujours un sourire, un mot gentil. La résidence est lumineuse, bien entretenue, ouverte sur la nature, et cela compte beaucoup aussi. C’est un lieu où il fait bon vivre, et je mesure chaque jour la chance que ma maman ait pu y trouver sa place. Aujourd’hui, je peux dire qu’elle y est épanouie et que nous, sa famille, sommes pleinement rassurés de la savoir ici. »
Fatiha Sallami, aide-soignante
« J’étais présente à l’ouverture de l’établissement en 2005. Beaucoup de choses étaient à créer : l’organisation, les équipes, l’unité Alzheimer... Nous avons relevé ce défi ensemble, et c’est cette aventure collective qui m’a donné envie de rester. Vingt ans plus tard, je suis toujours là, parce que l’établissement n’a jamais cessé d’évoluer. On se remet sans cesse autour de la table pour repenser nos pratiques, comme aujourd’hui avec la méthode Montessori adaptée aux personnes âgées que nous mettons en place dans notre unité Alzheimer. On se forme, on teste, on avance ensemble, toujours dans l’idée d’offrir le meilleur aux résidents. Mon métier a aussi évolué : j’ai un rôle davantage tourné vers le relationnel, en accompagnant particulièrement les résidents les plus isolés. Lire, discuter, écouter... ce lien est essentiel et il participe au prendre soin des résidents. Ici, j’ai trouvé la confiance et la stabilité qui permettent de mener des projets sur le long terme. Et quand je repense à ces vingt années, ce qui me revient, ce sont les fous rires, les moments partagés. Parce qu’un EHPAD, ce n’est pas un endroit triste : c’est un lieu de vie, où il reste encore de très belles choses à construire. »
« J’étais présente à l’ouverture de l’établissement en 2005. Beaucoup de choses étaient à créer : l’organisation, les équipes, l’unité Alzheimer... Nous avons relevé ce défi ensemble, et c’est cette aventure collective qui m’a donné envie de rester. Vingt ans plus tard, je suis toujours là, parce que l’établissement n’a jamais cessé d’évoluer. On se remet sans cesse autour de la table pour repenser nos pratiques, comme aujourd’hui avec la méthode Montessori adaptée aux personnes âgées que nous mettons en place dans notre unité Alzheimer. On se forme, on teste, on avance ensemble, toujours dans l’idée d’offrir le meilleur aux résidents. Mon métier a aussi évolué : j’ai un rôle davantage tourné vers le relationnel, en accompagnant particulièrement les résidents les plus isolés. Lire, discuter, écouter... ce lien est essentiel et il participe au prendre soin des résidents. Ici, j’ai trouvé la confiance et la stabilité qui permettent de mener des projets sur le long terme. Et quand je repense à ces vingt années, ce qui me revient, ce sont les fous rires, les moments partagés. Parce qu’un EHPAD, ce n’est pas un endroit triste : c’est un lieu de vie, où il reste encore de très belles choses à construire. »
Isabelle Jacquetin Daille, infirmière coordinatrice
« Je travaille ici depuis presque six ans. Accompagner les personnes âgées est un choix très personnel, lié à la relation privilégiée que j’ai toujours eue avec mes grands-parents.
Ce qui me plaît ici, ce sont d’abord les valeurs. Le Clos Saint-Joseph garde un esprit familial, avec une équipe soudée et une directrice à l’écoute. Le fait que nous fassions partie d’une fondation à but non lucratif est aussi essentiel : cela donne du sens à notre travail, on sait que tout ce que l’on fait est tourné vers le bien-être des résidents. Et avoir le soutien de la Fondation Partage et Vie compte beaucoup dans notre quotidien.
Parmi les moments marquants de l’histoire de la résidence, je retiens notamment l’évaluation externe : un gros travail collectif qui a montré que nous étions sur la bonne voie. Les équipes se sont beaucoup investies et ont été fières de voir reconnu leur professionnalisme et la qualité de ce que nous faisons au service des résidents. Aujourd’hui, je suis heureuse de fêter les 20 ans du Clos Saint-Joseph. »
« Je travaille ici depuis presque six ans. Accompagner les personnes âgées est un choix très personnel, lié à la relation privilégiée que j’ai toujours eue avec mes grands-parents.
Ce qui me plaît ici, ce sont d’abord les valeurs. Le Clos Saint-Joseph garde un esprit familial, avec une équipe soudée et une directrice à l’écoute. Le fait que nous fassions partie d’une fondation à but non lucratif est aussi essentiel : cela donne du sens à notre travail, on sait que tout ce que l’on fait est tourné vers le bien-être des résidents. Et avoir le soutien de la Fondation Partage et Vie compte beaucoup dans notre quotidien.
Parmi les moments marquants de l’histoire de la résidence, je retiens notamment l’évaluation externe : un gros travail collectif qui a montré que nous étions sur la bonne voie. Les équipes se sont beaucoup investies et ont été fières de voir reconnu leur professionnalisme et la qualité de ce que nous faisons au service des résidents. Aujourd’hui, je suis heureuse de fêter les 20 ans du Clos Saint-Joseph. »
Véronique Margot, directrice
« Depuis mon arrivée en 2009, j’ai voulu que Le Clos Saint-Joseph soit avant tout une maison vivante, où chacun trouve sa place. Cela passe par un management participatif : nous travaillons en groupe sur des sujets aussi variés que l’accompagnement de fin de vie, la RSE ou le projet d’établissement. Les résidents sont pleinement associés à la vie de l’établissement, et les familles également : certaines animent des ateliers, participent à la chorale du soir... Nous ouvrons aussi largement nos portes à l’extérieur : danseurs, circassiens, conteurs, musiciens, bénévoles... autant de partenaires qui font entrer la culture et la vie dans l’établissement. Enfin, le conseil d’orientation, où siègent les sœurs, des élus et des partenaires, apporte un regard précieux et bienveillant. C’est cette dynamique collective, nourrie par toutes ces énergies, qui fait la richesse de notre maison et qui permet à chacun d’y vivre, et d’y vieillir, dans la dignité et la convivialité. »
« Depuis mon arrivée en 2009, j’ai voulu que Le Clos Saint-Joseph soit avant tout une maison vivante, où chacun trouve sa place. Cela passe par un management participatif : nous travaillons en groupe sur des sujets aussi variés que l’accompagnement de fin de vie, la RSE ou le projet d’établissement. Les résidents sont pleinement associés à la vie de l’établissement, et les familles également : certaines animent des ateliers, participent à la chorale du soir... Nous ouvrons aussi largement nos portes à l’extérieur : danseurs, circassiens, conteurs, musiciens, bénévoles... autant de partenaires qui font entrer la culture et la vie dans l’établissement. Enfin, le conseil d’orientation, où siègent les sœurs, des élus et des partenaires, apporte un regard précieux et bienveillant. C’est cette dynamique collective, nourrie par toutes ces énergies, qui fait la richesse de notre maison et qui permet à chacun d’y vivre, et d’y vieillir, dans la dignité et la convivialité. »
Sœur Jona Chinnappan, de la Congrégation des sœurs de Saint-Joseph qui a fondé l’établissement
« Il y a vingt ans, en créant cette résidence, nous voulions donner vie à la devise de notre fondateur : “répondre aux besoins dans les temps”. C’est dans cet esprit que nous avons choisi de confier le projet à la Fondation Partage et Vie, une structure non lucrative qui partageait nos valeurs. Aujourd’hui, nous sommes très heureuses de voir que cette maison est restée fidèle à ce que nous avions imaginé : un lieu d’accueil, de bienveillance et de proximité. Bien sûr, elle a su évoluer avec son époque car la société change vite, mais sans jamais perdre son esprit d’origine. Ce qui compte, c’est de garder le sens de la solidarité et de l’intérêt collectif, et c’est ce que nous retrouvons ici. »
« Il y a vingt ans, en créant cette résidence, nous voulions donner vie à la devise de notre fondateur : “répondre aux besoins dans les temps”. C’est dans cet esprit que nous avons choisi de confier le projet à la Fondation Partage et Vie, une structure non lucrative qui partageait nos valeurs. Aujourd’hui, nous sommes très heureuses de voir que cette maison est restée fidèle à ce que nous avions imaginé : un lieu d’accueil, de bienveillance et de proximité. Bien sûr, elle a su évoluer avec son époque car la société change vite, mais sans jamais perdre son esprit d’origine. Ce qui compte, c’est de garder le sens de la solidarité et de l’intérêt collectif, et c’est ce que nous retrouvons ici. »
> En savoir plus sur la résidence Le Clos Saint-Joseph sur le site de la Fondation Partage & Vie.