L’enquête montre d’abord que la notion de « fin de vie » ne renvoie pas à une réalité unique : « Pour certains, elle commence dès l’aggravation d’une maladie grave ; pour d’autres, elle ne concerne que les toutes dernières heures. Ces représentations influencent la manière dont chacun anticipe ou non cette période. »
Directives anticipées, personne de confiance, possibilités de refus de traitement ou encore accès à la sédation profonde et continue : ces dispositifs légaux restent insuffisamment identifiés. Une large part des répondants ne sait pas précisément ce qui est possible, ni dans quelles conditions ces droits peuvent être mobilisés.
Pourtant, plusieurs tendances « ressortent nettement » : « le souhait d’être soulagé de la douleur », « la volonté d’être entouré par les proches », « le choix du lieu de la fin de vie, avec une préférence marquée pour le domicile ». « Ces éléments montrent l’importance du dialogue, de l’anticipation et de l’accompagnement », indique l'étude.
Directives anticipées, personne de confiance, possibilités de refus de traitement ou encore accès à la sédation profonde et continue : ces dispositifs légaux restent insuffisamment identifiés. Une large part des répondants ne sait pas précisément ce qui est possible, ni dans quelles conditions ces droits peuvent être mobilisés.
Pourtant, plusieurs tendances « ressortent nettement » : « le souhait d’être soulagé de la douleur », « la volonté d’être entouré par les proches », « le choix du lieu de la fin de vie, avec une préférence marquée pour le domicile ». « Ces éléments montrent l’importance du dialogue, de l’anticipation et de l’accompagnement », indique l'étude.
Anticiper, une démarche encore rare
Moins d’une moitié des personnes interrogées déclarent avoir déjà réfléchi à leurs souhaits de fin de vie, et seule une part réduite les a formulés auprès d’un proche ou d’un professionnel de santé. Pourtant, l’intention existe : une grande majorité se dit prête à engager cette discussion, que ce soit dans le cercle familial ou avec un soignant.
Pour encourager cette réflexion, une campagne intitulée « Fin d’année, fin de vie : 31 jours pour en parler » est diffusée en décembre. Chaque jour, un chiffre clé issu de l’Observatoire sera mis en avant afin de nourrir les échanges et de rendre le sujet plus accessible.
- Plus d'informations sur le site du CNSPFV et sur le site d'IPSOS.





L’EHPAD Les Terrasses de Beauséjour reçoit pour la deuxième année consécutive le label Vivre